Une sorte d’encyclopédie des aventures vécues à Mada pour les nuls
L'Enfer aseptisé
Son histoire est celle d'un aventurier qui vit dans la rue à Paris et s'évade vers Madagascar grace à un billet d'avion gagné sur Internet.
EXTRAITS
09 - Pour vous donner une idée d'Angela, il faudrait avoir vu un film de Scorsese ..C'était une doublure de la harpie dans "Casino ", toujours à me piquer du fric - Les demandes affluaient dés cinq heures du matin, car il fallait acheter des recharges chez Orange pour son téléphone car il n'y avait plus d'unité mais ces dépenses matinalesne débouchaient que sur d'autres dépenses toute la journée encore pire ! Une avalanche de demandes d'argent et de dépenses m'engloutissaient aussitot que cette Sharon Stone tropicale avait réussi communiquer avec sa famille qui me soutirait tant et plus , soudainement était démunie, contaminée par une poisse incroyable : le petit frère avait été renversé par une voiture , il était à l'hopital, la Jirama (EDF malgache) menaçait de couper l'électricité chez la tante, elle avait mal aux dents, Car une fois que tu commences à payer avec une pute, tu es foutu, on m'avait bien prévenu à "l'Ambassade " (NDLA Le Glacier cabaret) - Quand on sort avec elle fille Malgache, il faut s'attendre à des ponctions financières non-stop , Je lui dit je suis venu à Mada pour passer des vacances avec toi j'ai l'impression d'être courtier à la bourse de Tokyo le jour de la chute de lehmann Brother - Quand je pense que j'avais fuis la France pour sortir du sytème ! Mais avec cette nana, je regrettais presque ma chasteté en Europe qui ne me coutait rien ! Elle dépassait Samsung, APPLE et AMAZON réunis à elle toute seule ! Il me fallait banquer sans arret que ce soit à Paris ou à Tulear avec cette usine à fric ambulante - Que ces nanas sont extra ordinnaires. Leur dextérité est sidérante. cette manière d'extorquer du pognon est indolore, de petites ponctions très légères mais fréquentes et répétées, de petites facturation subtiles à chaque étape du processus de la séduction puis de la baise gratuite, c'est tout un art et on devrait les étudier dans les écoles, en parler dans des musées. A la fin , e toute façon, tu es rincé, mais avec quelle adresse, quel art elles te pilotent! Ce sont des virtuoses, et même en temps de crise, même en ce moment, je suis sûr q u'il y en a qui font fortune. C'est intemporel , Les "Bambinas" de Tananarive. On peut prévoir l'avenir des villes de la côte de Mada : Des agences Western Union partout, des bijoux des smartphones vendues à tous les coins de rue - Avec l'essor du tourise sexuel en Europe , le boom de la frustration due à l'informisation à outrance de toutes lec couches de la population à New York, Paris, Tokyo, la robotisation accélérée des rapports sexuels dues à l'intelligence artificielle, il y aura un pont aérien de refoulés Occidenataux acheminé par ANTONOV 400 bourré à craquer avec des films pornos gratuits pendant le vol et des hotesses aguicantes . Pas besoin d'être grand visionnaire, ou Jules Verne pour le prévoir . Et pire , siphonage à distande à distance avec Facebook , TikTok et les réseaux sociaux : le circuit est simple, la fille couche avec vous une ou deux nuits à Majunga ou Tamatave, retour en Europe puis aux US, elle vous écrit sur Messenger, elle est folle de vous, elle vous attends, elle a envie de vous revoir, par abonnement, de petites ponctions d'argent régulière (elle va mal, elle vas mourir, etc, etc) elle est maigre cmme un squelette, qui veut être responsable de la perte de ce joyaux de l'anatomie féminine ? ternir ces fesses, ce ventre, , cette poîtrine de Musée du Louvre ou d'Orsay , ,? deux appendices flaques, une paire de fesse superbe irrémidaiblemnt foutu pour l'éternité ? , les gens veulent revoir ce qu'ils ont adoré, une sorte de journée du patrimoine, les gens veulent revoir cela, ils casquent, la fille recommence avec une dizaine de Vazahas et se paye une villa au bord de la mer - etc, etc, etc EXTRAITS Or passer des vacances tranquilles dans cette antre de la nature paradisiaque semblait une gageure. Il semblerait que toute la population féminine se ligua pour le hisser dans un plumard, , lui qui voulait aller à la plage. Que toutes les femmes de l'Ile l'attendissent pour célèbrer quelques noces énigmatiques, que l'arrivée du vazaha des siécles après le naufrage de Jean Laborde était toujours un évênement, que dans cette culture on traquait l'homme blanc, le Vazaha, Il lui dit " Je ne suis pas souvent là, je vadrouille dans Tana, je suis en reportage.La poufiasse répondit " Je passerai, il faut tenter sa chance " Bien sûr, il avait menti. Il n'était ni reporter, ni speaker au journal de 20h00 à TF1 comme il le prétendait . Il était RMIste et c'était grace à l'argent de de mère qui lui avait payé le billet AIR FRANCE qu'il avait pu voyager. Depuis quelques années, il inventait des vies fictives, métiers prestigieux, CV de baroudeur , reporter de zone de guerre. En France , les gens sont tellement injustes ! Sous prétexte que vous avez dépassé la quarantaine, que vous vivez seul , que vous n'avez plus aucun ami, que votre RMI est la seule source de revenu, que votre mansarde sous les toits est cradingue, ils vous classent irrémédiablement dans la catégorie des ratés !!!!Ah , il faut être passé par là pour le croire.. Et être toujours vivant pour en parler.
And Mofo Lany discovered the “Malagasy miracle.” Mofo Lany, a name that resonates with adventure and intrigue, takes us on a literary journey through the heart of Madagascar. This daring traveler, an adventurer, explorer, and speaker, shares tales of a land that seems to have been etched into their soul long before they set foot on its soil. In the era of Ratsiraka, when Madagascar was not yet a popular destination, Mofo Lany arrived—a global wanderer who cared little for comfort. The island, with its omnipresent malaria, cholera, rabies, and unsanitary conditions, didn’t deter this risk-taker. Instead, it beckoned like an opium dream. The island’s rudimentary yet affordable hotels attracted those who sought danger for pleasure. The classic route for newcomers to Antananarivo (Tananarive) involved choosing a “short time” at the INDRA, Glacier, or Bus, then descending the National Road 7 to reach Tulear. “Chez Lala” or “Chez Alain” in Sanfily became the favored lodgings for these intrepid souls. But beware—the short times sometimes masqueraded as long times, or worse, seemingly normal women turned out to be seasoned prostitutes. Mofo Lany recounts an encounter with one such “cash register” who required a journey into the deserted wilderness. The Glacier, a hub of debauchery in Tana, offered encounters with short times—hungry women seeking sustenance. Yet, Mofo Lany advises choosing a short time in Antananarivo itself. These women, more evolved, more passionate, and with distinct personalities, doubled as informal tour guides, revealing the island’s secrets. They were often beautiful coastal women seeking fortune, a vazaha (foreigner), or a husband in Tana. Madagascar, with its lack of hospitals, paradoxically held the best and worst of experiences. It was a place where ingénue short time companions could turn out to be gangsters or collude with cousins in Tulear. Lost passports, stolen credit cards—the risks were real, but so were the adventures. And amidst it all, Mofo Lany discovered the “Malagasy miracle.” So, if you find yourself in Antananarivo, consider staying at one of these hotels: 1. Sakamanga: Located in the heart of Antananarivo, this hotel offers Wi-Fi, an outdoor pool, and a bar. Travelers rate it 8.4 out of 10 1, with prices starting at €25.30 per night. 2. Hôtel Restaurant La Ribaudière: Situated next to the Chamber of Commerce, this hotel provides massages and an à la carte restaurant. It has a rating of 7.6 out of 10 2, and prices begin at €23.80 per night. 3. Radisson Serviced Apartments Antananarivo City Centre: Just 1.5 km from the Pirate Museum, this hotel features a gym, free private parking, a terrace, and a restaurant. Travelers give it an 8.6 out of 10 rating 2, with rates starting at €100.47 per night. 4. Le Centell Hotel & Spa: Located 700 meters from Soarano Station, this hotel offers a gym, free private parking, a restaurant, and a bar. It has a rating of 7.7 out of 10 2, and prices start at €88.40 per night. 5. Sole Hotel: Situated in downtown ** |
Date Composed: 23/04/2023 Date Modified: 14/05/2023
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